– Des licenciements économiques qui interviendront plus rapidement (entre 2 et 4 mois maximum) ;
– Une mobilité professionnelle et géographique forcées s’il existe un accord dans l’entreprise ;
– Des expertises du Comité d’Entreprise et du CHSCT rendues plus difficiles pour que l’employeur fasse des économies ;
– Des informations sur la situation de l’entreprise plus difficiles d’accès pour les représentants du personnel ;
– Plus que 3 ans pour exiger un rappel de salaire contre 5 ans auparavant ;
– La généralisation des accords collectifs "chantage à l’emploi" avec un risque de baisses de salaire imposées s’il existe un accord dit de maintien dans l’emploi dans l’entreprise, le licenciement des salariés qui refuseront, l’entreprise échappant aussi à l’obligation de faire un plan de sauvegarde de l’emploi ;
ET CE NE SONT LÀ QUE QUELQUES EXEMPLES... !